Journée Internationale de la Femme 2016, une occasion pour réfléchir sur la façon de changer des mentalités

Admin Non classé août 22, 2016
A l’occasion de la Journée Internationale de la Femme, le ministère de la Femme, Famille et Enfant de la RDC a organisé ce mardi 8 mars 2016 un culte œcuménique d’actions des grâces en la Cathédrale du Centenaire protestant à Kinshasa à laquelle une foule de femmes, d’hommes et différentes autorités du pays ont pris part. Pour l’année 2016, la Journée de la Femme est célébrée en RDC sous le thème : « Appliquons la parité homme-femme maintenant dans la paix pour un développement durable d’ici 2030 ».

A l’occasion de la Journée Internationale de la Femme, le ministère de la Femme, Famille et Enfant de la RDC a organisé ce mardi 8 mars 2016 un culte œcuménique d’actions des grâces en la Cathédrale du Centenaire protestant à Kinshasa à laquelle une foule de femmes, d’hommes et différentes autorités du pays ont pris part. Pour l’année 2016, la Journée de la Femme est célébrée en RDC sous le thème : « Appliquons la parité homme-femme maintenant dans la paix pour un développement durable d’ici 2030 ».

Dans son message aux femmes congolaises, la ministre de la Femme, Famille et Enfant, Lucie KIPELE est revenue sur le sens de cette journée dédiée à la femme comme étant un moment fort pour renforcer la lutte des droits de la femme et mettre un accent particulier sur l’autonomisation économique de la femme. Elle en a profité de l’occasion pour manifester son souhait de voir la poursuite d’un programme paritaire dans la politique de la RDC.

Pour sa part Jeanne NZUZI Secrétaire Permanente du CONAFED, collectif membre de la COCAFEM/GL, a rappelé que la lutte pour des droits de la femme continue car la préoccupation actuelle est que la parité consacrée dans la constitution congolaise soit effective. « Nous luttons pour que la loi électorale soit revue car elle ne permet pas la représentativité effective de la femme. De plus, nous voulons renforcer les capacités des femmes pour que ces dernières puissent cerner leur place dans ce processus de décentralisation », a-t-elle expliqué.

Face à l’impunité des auteurs des violences sexuelles décriée en RDC, la COCAFEM/GL et son partenaire le CECI représentés à cette manifestation ont à travers leur calicot exprimé leur vœu de voir la RDC lancer la campagne « Tolérance Zéro immédiate » envers les crimes de VSBG et l’impunité en vue d’évaluer les services des juridictions et permettre aux victimes d’être rétablie dans leurs droits et d’être réhabilités moralement, physiquement et socialement.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *