Organisée par le Réseau Femmes et Paix en date du 26 février 2016 dans la zone de KAMENGE, cette rencontre des leaders engagés dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles avait pour finalité de faire une analyse rétrospective et introspective sur les activités réalisées par ces leaders et arrêter des stratégies de pérennisation des activités réalisées dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux filles et jeunes femmes après le désengagement du PLUVIF.

Organisée par le Réseau Femmes et Paix en date du 26 février 2016 dans la zone de KAMENGE, cette rencontre des leaders engagés dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles avait pour finalité de faire une analyse rétrospective et introspective sur les activités réalisées par ces leaders et arrêter des stratégies de pérennisation des activités réalisées dans le cadre de la lutte contre les violences faites aux filles et jeunes femmes après le désengagement du PLUVIF.

Les activités réalisées par les leaders communautaires tournent autour de la sensibilisation de la communauté sur la lutte contre les violences faites aux filles et jeunes femmes afin que chacun se sente concerner. La sensibilisation des couples non enregistrés à l’Etat civil, la médiation des couples en mésentente ainsi que l’acheminement des victimes des VSBG vers les centres ayant l’expertise dans la prise en charge et la prévention des maladies sexuellement transmissibles sont à l’actif des leaders communautaires encadrés par le PLUVIF.

Quant au désengagement du PUVIF qui pointe à l’horizon, ces leaders communautaires ont réaffirmé leur engagement dans la poursuite de la sensibilisation de la communauté pour l’emmener à prendre conscience de la nécessité d’endiguer le phénomène des VSBG. D’où la nécessité de maintenir une collaboration étroite avec les autorités administratives et judiciaires dans le but de voler au secours des victimes des VSBG et les accompagner à traduire en justice les présumés auteurs de ces violences.