YWCA Rwanda a, en collaboration avec OXFAM, organisé du 1 au 2 octobre 2015 un atelier ayant pour but d’attirer l’attention des acteurs actifs dans la lutte et le plaidoyer pour les droits des femmes sur le Protocole de Maputo, avec un accent particulier sur le droit de la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles.

YWCA Rwanda a, en collaboration avec OXFAM, organisé du 1 au 2 octobre 2015 un atelier ayant pour but d’attirer l’attention des acteurs actifs dans la lutte et le plaidoyer pour les droits des femmes sur le Protocole de Maputo, avec un accent particulier sur le droit de la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles.

Cet atelier avait en outre comme objectifs d’augmenter la capacité des participants de la société civile dynamique dans l’utilisation efficace du Protocole de Maputo dans leurs communautés ; d’aider les participants à l’atelier de développer un plan d’action sur l’intégration du Protocole de Maputo dans leur ordre du jour ainsi que sa mise en œuvre et enfin un dernier objectif était celui de renforcer leurs capacités sur les techniques de plaidoyer sur le genre, le suivi des politiques et la collection des preuves.Retour ligne automatique
Protocole à la Charte Africaine des droits de l’homme et des peuples relatif aux droits des femmes en Afrique, le protocole de Maputo a été adopté par les chefs d’Etats de l’Union Africaine, le 11 Juillet 2003 à Maputo capitale de la République du Mozambique. L’exposé sur les droits civils et politiques, économiques, sociaux et culturels, les droits des groupes et les droits liés à la santé sexuelle et reproductive tous contenu dans le Protocole de Maputo, a fortement réjouit les participants à cet atelier de formation. Retour ligne automatique
A propos de la Violence Sexuelle Basée Genre, VSBG en sigle, l’atelier a permit aux participants de s’en imprégner davantage via une introduction à ce concept, y compris sur les lois qui protègent les citoyens face aux VSBG et les processus de suivi et de plaidoyer dans le cadre de la lutte contre les violences sexistes. Avec les informations fournies lors de la formation, les participants à cet atelier ont déclaré être en mesure de faciliter des réunions de sensibilisation communautaire sur les VSBG, être en mesure de soutenir les efforts des membres de leurs communautés dans la lutte contre les VSBG et trouver des solutions adéquates pour améliorer la situation déplorée.