HomeBlogACTUALITESLa COCAFEM/GL participe à la 28ème Réunion consultative de la société civile du pré-Sommet sur l’intégration du genre dans les Etats membres de l’Union Africaine à Kigali.
La COCAFEM/GL participe à la 28ème Réunion consultative de la société civile du pré-Sommet sur l’intégration du genre dans les Etats membres de l’Union Africaine à Kigali.
Du 10 au 11 Juillet 2016, la délégation de la COCAFEM/GL composée de Thérèse NTIJINAMA, Yvonne DEMBO OKITO, Marguerite MUTUMWINKA et Nicole NYANGOLO respectivement Présidente, 1ère Vice-présidente, 2ème Vice-présidente et Chargée de Programme de la COCAFEM/GL a participé à la 28ème session de la Campagne « le Genre est Mon agenda de Campagne » communément dite GIMAC à Kigali en République du Rwanda.
Du 10 au 11 Juillet 2016, la délégation de la COCAFEM/GL composée de Thérèse NTIJINAMA, Yvonne DEMBO OKITO, Marguerite MUTUMWINKA et Nicole NYANGOLO respectivement Présidente, 1ère Vice-présidente, 2ème Vice-présidente et Chargée de Programme de la COCAFEM/GL a participé à la 28ème session de la Campagne « le Genre est Mon agenda de Campagne » communément dite GIMAC à Kigali en République du Rwanda.
Organisée sous le thème : « Mettre en œuvre les droits des femmes en Afrique : si ce n’est aujourd’hui, quand ? », les discussions de cette 28ème réunion du GIMAC se sont déroulées autour des sessions interactives avec les thématiques Femmes et conflits ; Droits et autonomisation économique des femmes ; Santé, droits sexuels et reproductifs et VIH/SID ; éducation ; Pratiques traditionnelles ainsi que Rapport de l’Index de la Déclaration solennelle (SDI) et institutionnalisation du GIMAC.
Entre autres recommandations formulées, les parties prenantes à l’action devraient impliquer les jeunes dans les actions de promotion du genre et les associer aux foras pour qu’ils expriment leurs opinions. Par ailleurs, il a paru impérieux de renforcer le système éducatif notamment grâce à une allocation conséquente à ce secteur. Les participantes étaient également d’avis que les Etats africains devraient améliorer l’accès à l’énergie, aux infrastructures et aux subventions pour les femmes afin de promouvoir leur autonomisation et leurs droits.